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mardi 24 juin 2014

Dessine-moi un livre avec ton chéquier


Chers amis (et chers ennemis que nous gardons près de nous),


Vous avez passé des moments inoubliables sur ce blog, vous avez ressenti des choses que vous pensiez ne jamais ressentir, dans des endroits que vous n'aviez jamais soupçonnés.
Vous êtes devenus un peu plus froids, distants, cyniques, insensibles, dépendants médicamenteux, prédateurs érotiques. Vous êtes devenus meilleurs en somme.

Parce que rien ne vaut le toucher du papier, ni l'odeur de ton cou, et qu'il serait temps d'avoir un livre dans votre bibliothèque, voire un cale-table de qualité, nous nous sommes lancés dans l'action kamikaze qui consiste à vouloir imprimer son livre, que l'on souhaite beau comme un coucher de soleil sur tes pectoraux.

Pour cela, nous avons besoin de votre soutien (votre fric) et de votre soutien (en partageant à mort et en incitant les gens à soutenir).

On ne sait pas si on y arrivera, on veut juste essayer, après tout, Michel-Edouard Marlboro ne savait pas qu'il allait inventer le remède médical le plus important des années 1950 en faisant fumer du foin à sa petite cousine pour essayer d'inventer le GHB.


Vous en saurez plus que ce que vous pouvez supporter mais également plus que tout ce que avez toujours voulu savoir, même vos secrets les plus inavouables, ici : http://fr.ulule.com/la-plaie



Petite astuce du jour sous forme de haïku : quelques jours de canicule, l'eau coupée chez mémé, plein de blé hérité.


On vous embrasse passionnément au milieu d'une galerie marchande.



La plaie & le sel

4 commentaires:

  1. Voilà.
    A cause de votre projet débile pour livre génial, je ne vais pas pouvoir financer mon alcoolisme pendant 74h et 49 minutes.
    PS : Je plaisante. Je cache toujours des bouteilles dans ma chambre au cas où un ours des montagnes m'empêcherait de sortir en se couchant devant ma porte. Des bises et faites raquer.

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  2. Ben surtout que tu n'y es pas allée avec le dos de la cuillère chère Mave. Un grand merci ! Et tu me rassures pour ton stock secret, s'il y a bien une chose que je refuserai toujours, c'est priver quelqu'un d'alcool. Dis-moi si ça coince, je piocherai dans mon stock et t'enverrai un colis.
    Encore merci, des bisous.

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    1. J'ai pour habitude d'utiliser le contenu de mon porte-feuille pour divers plaisirs (alcool, vêtements, jolies putes). Les livres, futurs ou présents, en font partie. D'autant que j'ai moi-même expérimenté le plaisir d'avoir mes bébés-écrits rassemblés en un seul bloc de papier blanc bon marché. C'est une adrénaline d'une puissance à en oublier la drogue.
      PS : c'est noté pour ce qui est de l'envoi de ton stock. Mais je pense que l'idée de partager la bouteille autour d'une table, d'un banc public ou d'une bite d'amarrage est également une possibilité plus conviviale que mon alcoolisme solitaire. Des bises claquantes à vous 2.

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  3. Apparemment, on partage nos portefeuilles de la même façon (même si dans mon cas, les putes ne sont pas toujours jolies) ;-)
    Je note l'option de partage d'une bouteille –mais si c'est sur une bitte d'amarrage, il faudra que ce soit le jour de paye des marins…
    Tendres bises à toi.

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